Dans les pays non légalisés
Les couples, qui souhaitent avoir recourt à une mère porteuse, sont systématiquement amenés à formuler leur demande de façon clandestine. En premier lieu ils font appel généralement à internet afin de rechercher une mère porteuse. En second lieu ils font des recherches plus approfondies en vue d'atteindre leur satisfaction. Par exemple solliciter leur entourage (amis, famille, ... ). La loi n° 2004-800 du 6 août 2004 relative à la bioéthique n’a pas légalisé la gestation pour autrui contrairement à ce qui existe dans de nombreux pays (Grande Bretagne, Hollande, Luxembourg…), toute infraction à cette disposition étant punie pénalement.
Dans les pays légalisés
En revanche pour les pays autorisant cette pratique les couples se renseignent auprès de leur médecin traitant. Cette démarche ce fait habituellement plus facilement que dans les pays où la gestation pour autrui n'est pas légalisée. Par ailleurs il y a certaines contraintes.La gestation pour autrui s'adresse donc aux femmes qui :
* ne possèdent pas d'utérus (par suite d'opération chirurgicale ou parce que leur mère ont été traitées au distilbène pendant leur grossesse, par exemple)
* ont subi des avortements spontanés fréquents
* ont subi des échecs répétés d'implantation d'embryon après Fécondation in Vitro (FIV)
* dont l'état de santé est incompatible avec une grossesse (greffe...)
Les couples, qui souhaitent avoir recourt à une mère porteuse, sont systématiquement amenés à formuler leur demande de façon clandestine. En premier lieu ils font appel généralement à internet afin de rechercher une mère porteuse. En second lieu ils font des recherches plus approfondies en vue d'atteindre leur satisfaction. Par exemple solliciter leur entourage (amis, famille, ... ). La loi n° 2004-800 du 6 août 2004 relative à la bioéthique n’a pas légalisé la gestation pour autrui contrairement à ce qui existe dans de nombreux pays (Grande Bretagne, Hollande, Luxembourg…), toute infraction à cette disposition étant punie pénalement.
Dans les pays légalisés
En revanche pour les pays autorisant cette pratique les couples se renseignent auprès de leur médecin traitant. Cette démarche ce fait habituellement plus facilement que dans les pays où la gestation pour autrui n'est pas légalisée. Par ailleurs il y a certaines contraintes.La gestation pour autrui s'adresse donc aux femmes qui :
* ne possèdent pas d'utérus (par suite d'opération chirurgicale ou parce que leur mère ont été traitées au distilbène pendant leur grossesse, par exemple)
* ont subi des avortements spontanés fréquents
* ont subi des échecs répétés d'implantation d'embryon après Fécondation in Vitro (FIV)
* dont l'état de santé est incompatible avec une grossesse (greffe...)
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